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Dans un jardin public, tu es là, assise sur un banc à lire un livre dans lequel tu sembles avoir du mal à rester plongée, tant ton regard vogue souvent ailleurs, tout autour de toi.. Quoi donc a pu ainsi rompre ta bulle ? Qui, peut-être ? Discrètement, je te regarde, t’observe.. Ton apparente nervosité parasite cette douceur qui, pourtant, semble émaner de toi. Plus je te vois, plus je suis intrigué, plus l’envie d’intervenir se fait sentir : comment te faire retrouver ta bulle ? Mais, je le sais, je ne fais pas partie de ton univers, je ne suis qu’un inconnu parmi des milliards sur cette petite planète.
C’est un mouvement d’humeur pourtant anodin qui me fait me lever et me diriger vers toi. Plus je m’approche, plus je te vois fébrile, comme agacée par je ne sais quel tracas. Alors que j’arrive à quelques pas de toi, tu me fixes d’un regard à la fois surpris et méfiant. Oh, ce n’est pas à toi que j’en veux, mais à ce bout de banc libre à ta droite. Je te demande si je peux m’y assoir ; apparemment oui ; je m’y assieds donc. Mais, toujours interloquée, je sens que je te dois une explication..









Mi-Mai, les giboulées de Mars, c’est normal... Enfin il parait.. Récemment, une amie m’a demandé où j’étais.. La réponse ici, en photos : sous l’orage ! Il y a deux jours, j’étais effectivement pile dessous, avec juste un tee-shirt sur le dos, le parapluie dans une main, l’appareil photo dans l’autre, le sac à dos sur le ventre et à moitié ouvert pour pouvoir y jeter l’appareil au besoin..





