Ce n’est plus le 1er Avril

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Petite chronique de la Vie de nos amis quadrupèdes

Lettrine_PenguinCamera_01-sLa nuit s’est imposée, la jardin s’est endormi, l’air a fraichi. C’est cet instant que choisit le Duc de Brocebalay pour s’en aller arpenter ses terres et quêter ses sujets insectes à la recherche de douces friandises. Le jour revenu, c’est Sa Majesté féline qui s’avance, fière sans doute de sa nuit de surveillance de son royaume. Apparemment, au pays des chats comme au pays du hérisson, tout va pour le mieux.. Salutations, donc !

Sinon, à part ça

Mais qu’ai-je donc bien pu faire de mon poisson du 1er Avril ?

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Ce n’est pas encore le 1er Avril...

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... Alors jouons à imaginer

Lettrine_Perso_01Lentement, irrésistiblement, la nuit descend, affirme son autorité... Loin des regards, loin de la route habituelle, le moteur soudain baisse de régime et doucement s’étouffe. Pourtant le carburant ne manque pas, les pièces, encore jeunes, sont loin d’être fatiguées. À presque mille lieux de toute vie, la sauvegarde s’organise, avec les moyens du bord. Une fois à l’arrêt, posé, sécuriser le périmètre, établir un premier bilan, commencer le démontage, réfléchir à trouver des ressources matérielles autant qu’humaines. Mais avec la nuit et cette relative solitude, ce sont le froid et l’humidité qui viennent se joindre à la fête ! Le chef du convoi se dit que tout ça ne va probablement pas être une partie de plaisir... Maudite soit la route “normale” et son satané balisage ! Un virage manqué un peu plus tôt dans la journée et voilà l’équipe obligée d’emprunter une voie annexe. C’est toujours dans ces moments que surviennent les pannes..

Au fil des heures, l’espoir joue avec les nerfs des équipiers, ses lueurs vont et viennent. Le moteur fonctionne, il semble prêt à reprendre du service mais, à chaque fois qu’on tente d’engager la propulsion, il défaille de nouveau, comme vidé de toute vraie puissance ! Est-ce un problème de pièces, un soucis de carburant ou est-ce plutôt la chaine d’éléments de propulsion qui détiendrait la clé du mystère ? Les premières lueurs du jour pointent à l’horizon alors que la panne semble être décelée. Il y a bien un soucis tant dans la composition du carburant que dans un élément de contrôle de la propulsion. Combien de temps encore le siège de leur passager mystère va-t-il rester vide à sa destination ? Cela lui sera-t-il fatal ? L’appareil peut maintenant reprendre son chemin, franchir la passe et rejoindre la route habituelle. Après tout, le retard, bien qu’irrattrapable, n’est peut-être pas rédhibitoire... Et le 1er Avril sera peut-être à l’heure.

Voilivoilou ;)...


Où sont les Lapins Or ?

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Où sont les Lapins Or ?

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Lettrine_PenguinCamera_01-sChaque année, elles reviennent, avec leur florilège de gourmandises et autres friandises... Je veux parler des Cloches.. Pas celles qui nous sonnent quand ce n’est jamais le moment, mais celles qui nous apportent ce qu’on peut qualifier de “retour à la normale” ou, plus simplement, de quoi agrémenter un tant soi peu notre ordinaire !

Mais, dans le lot, où sont donc passés les Lapins Or ? Cachés entre le Toblerone, les Ferrero Rondnoir et les friandises de l’Atelier du Chocolat, j’avoue avoir eu du mal à les attraper.. Un lapin, avant de contribuer à faire de délicieux civets,  peut être d’une agilité redoutable et n’a pas son pareil pour courir et slalomer entre les triangles de Toblerone, faire diversion dans les friandises de l’Atelier, voire se dissimuler dans un emballage de Rondnoir laissé à l’abandon !

Bref, à force de vouloir mettre la main sur les Lapins Or, c’est mon estomac qui va crier la pause dans les hostilités... Quoique, peut-on vraiment parler d’hostilités envers les chocolats de Pâques ?

Voilivoilou ;)...


Le Web social à la campagne

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Le Web social à la campagne

Illustration © Abiven – Tous droits réservés

Lettrine_Perso_01Mais pourquoi étais-je donc si absent de la Toile ? Étais-je donc disparu ? Non, simplement “au vert”, en train de vous préparer un coup... En effet, tout le monde parle de Web 2.0, de virtualisation 3.0 ou que sais-je encore.. Je suis donc descendu dans mon garage et j’ai vu, ô surprise, que je roule encore en automobile 1.0, avec quatre roues, un moteur à pistons et même avec des sièges et un volant, comme au bon vieux temps ! Tout autour trône de la verdure et des arbres, mais aucune antenne relais, aucune parabole, encore moins du Wifi ou du Bluetooth, même pas des brins de fibre de verre, juste des brins d’herbe.. Ça ne pouvait donc pas durer.. C’est décidé, je change tout ça !

Me voici donc à remettre encore mon ouvrage sur le métier, pour lui apporter ce qui lui manque : le volet “social”. C’est vrai, quoi, je n’étais pas “social”, donc probablement pas sociable non plus. Ma voiture a beau avoir quatre portes et cinq places assise dont une debout, elle n’est pas “sociale”, il n’y a pas le moindre widget et pas le moindre icône Facebook, MySpace, Flickr, YouTube, Dailymotion, LinkedIn, Viadeo, Del.icio.us, Google, Yahoo!, Windows Live ou autre Digg.. Alors, je suis monté dans ma caisse 1.0, j’ai pris la direction de la ville la plus proche à quinze lieues d’ici et je suis allé faire mes emplettes... Dans ma besace, me voici revenir avec tout un tralala d’incontournables à “monter vous-même pour votre plus grand bien”, dixit le marchand. Bon sûr mais c’est bien sang, le manuel est en anglais. Vite un dico : Google -> outils linguistiques (joignons le drôle à l’utile)...

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Et soudain, l’arc-en-ciel des roses devint noir...

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L'Arc-en-ciel des Roses devint Noir

Lettrine_Perso_01Dans un autre monde, dans une autre vie, quand l’apprentissage n’était pas encore ce qu’il est devenu.. C’est l’histoire d’une méprise rendue évidente par une sombre bourde, ou lorsque les sentiments s’expriment plus que maladroitement, mal tout court !

Il était une fois un jeune homme au cœur d’artichaut qui, dans sa région natale, rencontrait une jeune belle inaccessible, aussi native de l’endroit. Inaccessible, sur l’instant, il ne le savait pas encore. À leur première rencontre, il ne vit qu’un regard lumineux éclairer un joli visage avant d’entendre une douce voix. Sous le charme, il décidait les semaines suivantes de tenter de percer ce qui s’annonçait fort comme un mystère, une sorte de “tu me crois là, je suis ici”, exprimé par un désaccord sensible entre ce qui transpirait de la belle et ce que lui voyait et entendait.

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