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Mi-Mai, les giboulées de Mars, c’est normal... Enfin il parait.. Récemment, une amie m’a demandé où j’étais.. La réponse ici, en photos : sous l’orage ! Il y a deux jours, j’étais effectivement pile dessous, avec juste un tee-shirt sur le dos, le parapluie dans une main, l’appareil photo dans l’autre, le sac à dos sur le ventre et à moitié ouvert pour pouvoir y jeter l’appareil au besoin..
Heureusement, il faisait bon, le vent était faible et la pluie tombait presque droit.. Du coup, je n’ai pas eu à faire le baigneur de service, à part évidemment mes pieds, qui se sont tout de même pris pas mal d’eau !
Plus largement, autour de moi le vent est levé, il ne cesse de souffler, l’orage gronde au lointain et, pourtant, c’est vers lui que je me dirige, j’en ai déjà les premiers nuages au-dessus de la tête.. Et si c’était un orage sans pluie, juste un orage de chaleur, un de ces orages lourds, pesants, mais qui, au final, font beaucoup de bien en contribuant à rafraichir l’atmosphère ? Ça se pourrait.. D’autant que la pluie tend à cesser et j’ai “comme qui dirait” un peu les pieds dans l’eau...
Voilivoilou
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Mais le symbole était amusant et plutôt en relation avec ce que je vis ces temps-ci : d’abord un chat noir me fuit, puis c’est un chat blanc qui me demande, en plein quand je fais du classement dans ma vie, qu’il me semble clôturer un grand chapitre, riche, intense et sombre en même temps, pour en préparer un nouveau dont j’ignore parfaitement ce dont il sera composé.. Les superstitieux et les fans d’ésotérisme y trouveront de quoi alimenter leurs longues soirées d’hiver, moi j’y vois juste un clin d’œil, d’autant que ce chat blanc était particulièrement agréable et câlin, du moins à ce moment là il avait envie de l’être..




